Le Programme L’Oréal - UNESCO « Pour les femmes et la science » est un partenariat créé en 1998 entre la société L'Oréal et l'UNESCO.
Tout d'abord d'un montant de 20 000 $, le montant du prix Lauréates-L’Oréal est porté à 100 000 $ pour chaque lauréate, en 2003 ; ce qui en fait la deuxième récompense, après le prix Nobel, en termes de dotation.
Les cinq prix sont décernés, annuellement, à des femmes scientifiques :
Ayant contribué aux progrès de la science, alternativement en sciences de la matière et en sciences de la vie, sur des travaux non liés aux activités de L'Oréal, et qui sont originaires de cinq grandes régions (Afrique et États arabes, Amérique latine, Amérique du Nord, Asie-Pacifique, Europe), une pour chacune d'entre elles.
Cinq lauréates ont, par la suite, reçu le Prix Nobel dans leur domaine de compétence :
Christiane Nüsslein-Volhard et Elizabeth Blackburn en médecine ou physiologie, Ada Yonath, Emmanuelle Charpentier et Jennifer Doudna en chimie.
Le même partenariat attribue, depuis 2000, les bourses internationales UNESCO-L'Oréal à
des jeunes femmes scientifiques poursuivant des études doctorales ou postdoctorales, pour
aider à financer des travaux de recherche en cours, alternativement en sciences de la vie ou
en sciences de la matière. Ce partenariat leurs offre la possibilité de poursuivre des études
dans une institution scientifique à l'étranger.
Les bourses annuelles, tout d'abord de dix et d'un montant de 10000 $, virent leur nombre porté à quinze ,en 2003, trois par grande région, et, leur montant passé à 20000 $. En 2006, la période de subvention est étendue à deux ans et le montant de la bourse s'élève à 40000 USD. En 2015, le volet des bourses prend le nom de programme UNESCO-L'Oréal Jeunes talents.
Des bourses sont également octroyées au niveau national, depuis 2007, dans les pays participants. Vingt bourses annuelles sont ainsi octroyées par le programme français. Ces bourses sont aussi l’occasion pour des lycéennes de rencontrer des boursières et d'échanger avec elles.
Les intitulés et énoncés des travaux et recherches de ces Lauréates L’ORÉAL sont, à eux seuls, une invitation au voyage d’une humanité misogyne -donc manquant d’humanisme, forcement-, où les gentes femmes sont toujours et pourtant d’une maïeutique protectrice, bienfaitrice et régénératrice pour la race humaine, la nature humaine, la Nature et tout et tout.
Étant en Année Olympique, qui plus du Centenaire de la 1ère tenue francilienne, pour raviver la flamme de l’émulation, voici le classement mondial, top ranking, des nations les plus primées et prisées par lesdites ladies lauréates L’ORÉAL, en 2023.
Σχόλια